Inventée en 1879, améliorée par Thomas Edison, elle a été le principal mode d’éclairage domestique jusqu’aux années 2010. Le principe est de faire passer un courant dans un filament de tungstène, provoquant son échauffement jusqu’à atteindre de la production de lumière, c’est l’incandescence. Le filament ne brûle pas car le globe de verre contient un gaz inerte privé d’oxygène.
Le principal défaut est que l’énergie absorbée est transformée pour partie en lumière, et pour autre partie en chaleur. Ceci engendre un rendement médiocre car la chaleur, non souhaitée en finalité, est une perte.
Vers la fin des lampes à incandescence
La production de lampes classiques a été largement délocalisée. La réduction de la consommation d’énergie est passée au premier plan, pour des raisons économiques (prix croissant de l’énergie) et écologiques (la production d’énergie est une composante majeure au niveau environnemental)
Les États de l’Union européenne ont approuvé le 8 décembre 2008 le retrait progressif de la vente des lampes à incandescence classiques de 100 watts à partir de 2009, puis les modèles de 75 watts en 2010 et ceux de 60 watts en 2011), leur abandon définitif devant intervenir en 2012.
En France, le passage aux lampes basse consommation devrait permettre d’économiser quelque 8 milliards de kWh, soit 1,5 % de la consommation nationale d’électricité en 2010.
Lampe halogène « haute efficacité »
C’est une lampe à incandescence améliorée : la lumière est produite par l’échauffement d’un filament dans un gaz de la famille des halogènes (iode ou brome par exemple).
Les lampes à incandescence halogène sont une alternative économique possible aux lampes à incandescence classiques
Rédaction en cours. Merci
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Voir aussi l’article Produits > Ampoules et luminaires
> Comprendre > Technologies d’ampoules